Repas littéraire avec Emmanuelle Salasc

Dans le cadre des nuits de la lecture organisées par le CNL, le Festival du livre organise une soirée hors les murs le samedi 25 janvier 2025 à la Ferme de la Bégude à Saint Victor de Malcap : Rencontre avec l’écrivaine Emmanuelle Salasc animée par Éric-Michel Tosolini, autour d’un repas et accompagnée de lectures d’extrait de ses œuvres.


agenda
  • # Samedi 25 janvier de 19h30 à 22h30

    Repas littéraire avec Emmanuelle Salasc

    Ferme de la Bégude

    Saint-Victor-de-Malcap

    Rencontre avec l’écrivaine Emmanuelle Salasc animée par Éric-Michel Tosolini, autour d’un repas et accompagnée de lectures d’extraits de ses œuvres. La réservation du repas est de 22 €, par notre formulaire de réservation en ligne ou au 06 08 55 26 56.

    Réservation

    Places disponibles : 27 / 40

    Pour participer à l'événement il est recommandé de remplir le formulaire ci-dessous pour chaque participant. Le nombre de places étant limité, vous êtes ainsi assuré d'avoir les vôtres. Au delà du nombre de place disponible votre inscription sera automatiquement ajoutée à une liste d'attente.
Hors les murs
Rencontre
Lecture & contes

Déroulement de la soirée

  • 19h ouverture et accueil du public
  • 19h30 Lecture par Emmanuelle Salasc d’une de ses nouvelles tirée de "Ni de lait, ni de laine"
  • 19h45 interview de l’autrice par Éric-Michel Tosolini avec un temps d’échange avec le public
  • Reprise de la lecture de ses nouvelles
  • 20h 30 Repas

La réservation du repas est de 22 € et peut se faire depuis cette page internet sur notre formulaire de réservation en ligne ou au 06.08.55.26.56. Les livres d’Emmanuelle Salasc seront en vente tout au long de la soirée.

Emmanuelle Salasc

Que ce soit sous le nom de Pagano ou de Salasc, l’auteure « vit et écrit à plus de mille mètres d’altitude. » Ce point pourrait sembler n’être qu’une anecdote dans une notice biographique, si l’on négligeait qu’à cette humble hauteur déjà, l’écriture devient patience et précision. Les mots y étant plus rares, le rythme de la phrase devient aussi plus discret et délicat, mais pas moins troublant, dans l’ampleur du roman, comme dans la fulgurance de la nouvelle.
Hors gel, P.O.L. 2021, roman de la folie ordinaire, ou le dernier recueil de nouvelles sur la férocité des familles, Ni de lait ni de laine, P.O.L. 2024, pour n’évoquer qu’eux, sont tendus par la sobre fécondité des sommets où l’auteure aussi se transforme en une formidable « souffleur de mots », pour les façonner sans limites, défier l’apesanteur, leur donner toutes les formes et les sortir de l’ombre.

La nuit peut commencer.

E. M. Tosolini

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